Je ne vois plus qu'une chose à faire ! On nous bassine avec le moustique-tigre vecteur de plusieurs maladies........ peu sympathiques !

Sans céder à la paranoïa, je voulais m'en protéger..... Les autres années, j'utilisais une vague eau de Cologne à la citronnelle (Je déteste l'odeur de la citronnelle !!! ) Cette année, j'ai demandé quelque chose d'un peu plus efficace....... d'un peu plus chimique, sans doute ! Je m'en tartine co-pi-eu-se-ment en arrivant à la campagne. Ca paraît efficace................ mais pas très longtemps ! Au bout de 2 ou 3 heures, les sales bêtes reviennent se poser sur mes bras, sur mes joues, sur mon nez......... Alors que c'est marqué sur le flacon :

"EFFICACE 11 HEURES !!!!"

Alors, alors, je ne vois plus qu'une chose à faire :

"C'est d'apprendre à lire aux moustiques et leur montrer l'inscription sur le flacon !!!!

Ce joli vélo fleuri vient tout juste de m'être envoyé par Alinech de retour de vacances. Merci Alinech ! Tu remarqueras que je n'ai rien retouché à ta photo. J'aime tout dans cette photo, le vélo, les fleurs sur le vélo et autour ainsi que les papillons posés sur les volets blancs !

Un autre vélo....... avec un chat ! Un vélo qui, s'il roule encore, n'a, à mon avis, pas besoin de..................... sonnette !!! Je pense qu'on l'entend arriver de loin !!!! grin grin grin !!! (Comment écrire le bruit d'un vélo rouuuuuuuuillé ????)

Je ne prétends pas avoir fait ces photos............ Je les ai trouvées sur internet, mais je ne désespère pas d'en faire de similaires d'ici quelque temps !!!!!

Notre petit renardeau est revenu samedi. Je lui avais posé une gamelle et quelques os à côté : Il a choisi le plus gros os et a filé dans la colline avec. Il est revenu dimanche. Je lui avais aussi déposé une gamelle. Je croyais qu'il avait compris qu'on ne lui voulait aucun mal, mais il a dû trouver qu'on était trop près,........ trop debout ! Il a filé vite fait dans la colline, mais je ne doute pas qu'il soit revenu manger sa gamelle après notre départ.

C'est alors qu'apparut le renard.
Bonjour, dit le renard.
Bonjour répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
Qui es-tu? dit le petit prince. Tu es bien joli...
Je suis un renard, dit le renard.
Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion il ajouta:
Qu’est-ce que signifie apprivoiser (...)
C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie créer des liens...
Créer des liens?
Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
Je commence à comprendre, dit le petit prince. (...)
Mais le renard revint son idée:
Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m’ennuie donc un peu. Mais, si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m’appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c’est triste! Mais tu as des cheveux couleur d’or. Alors ce sera merveilleux quand tu m’auras apprivoisé! Le blé, qui est d’or, me fera souvenir de toi. Et j’aimerai le bruit du vent dans le blé...
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
Sil te plaît... apprivoise-moi! dit-il.
Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
Que faut il faire? dit le petit prince?
Il faut être très patient répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus prés... (...)
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche:
Ah! dit le renard... Je pleurerai.
C’est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t’apprivoise...
Bien sûr, dit le renard.
Mais tu va pleurer! dit le petit prince.
Bien sûr, dit le renard.
Alors tu n’y gagnes rien!
J’y gagne, dit le renard, à cause de la couleur des blés.

D'abord, je vous offre une boisson fraîche................ en ces temps caniculaires, ce n'est pas désagréable, non ???

A propos de boisson rafraichissante, j'ai goûté "ma" gelée d'Aloé Vera -que je dénigrais dans le post précédent- deux cuillerées à café dans un grand verre d'eau très fraîche et j'ai trouvé ça très agréable.

J'adore ce dessin.... Je le recherchais, sans succès, dans mon dossier photos. Et voilà qu'il se remet à circuler......

 Trop mignonnes ces deux petites !

Je ne les connais pas ces deux petites mouflettes. J'ai photographié..... cette photo sur la vitrine du cours de danse en bas de chez moi.

Ces deux-là, si, je les connais !

Trop beau l'échange de regards entre le (grand) frère et la (petite) soeur